Imposition des cendres / Chr. Elmer

"Revenez à moi de tout votre coeur !"

Marquant l'entrée en carême, le mercredi des cendres a eu lieu cette année le 17 février.

Marquant l'entrée en carême, le mercredi des cendres a eu lieu cette année le 17 février.

Un second carême particulier et, une fois de plus, "un carême qui n'est plus une option", a précisé d'emblée l'abbé Patrick Werth lors de la messe des cendres célébrée en début d'après-midi en l'église de St-Nicolas. " Avant la survenue du Covid, en effet, les paroissiens décidaient de renoncer à telle ou telle chose pour signifier leur façon de "faire carême". Depuis la pandémie, les renoncements font partie de notre quotidien. "Mais on peut essayer de faire ce carême obligatoire avec le Christ", a poursuivi l'abbé Patrick.

Chaque entrée en carême nous invite au partage, à la prière et à la pénitence.
Dans la discrétion.
C'est également un temps de recueillement, d'introspection, de préparation à ce qui se vivra à Pâques. "Il s'agit pour chacun de faire au mieux pour donner un sens à ce que nous vivons."

Pandémie oblige, après avoir béni les cendres, l'abbé a procédé à leur imposition sur la tête des paroissiens et non pas en traçant une croix sur leur front, comme cela se fait habituellement.
Signe de notre fragilité et de notre finitude, les cendres nous rappellent nos limites.
Poussière, c'est à la poussière que nous retournons.

Mais la Lumière nous est promise. (CE)

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